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Viscosité, fluidité et nomenclature des huiles moteurs : comment ça fonctionne ?

décembre 26, 2023

Dans le secteur automobile, il y a énormément d’informations hasardeuses et d’idées reçues qui circulent… Pour exemple : “l’huile moteur en 5w40 est trop fluide… Le moteur de ma voiture ne nécessite qu’une 10w40, pas besoin d’en changer”… L’inverse existe également : “mon véhicule exige de la 5W30 et non de la 5w40 !”. Des déclarations comme celles-ci sont monnaie courante. Moi-même, je pensais comme cela pendant longtemps…

Ce ne sont pourtant que des idées reçues ! Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai décidé d’écrire cet article… Alors, si vous aimez la technique et les trucs un peu « velus », vous êtes au bon endroit, ça, je peux d’ores et déjà l’affirmer^^ ! Du coup, on est parti pour ce tout premier dossier qui s’intitule « Viscosité, fluidité et nomenclature des huiles moteurs : comment ça fonctionne ?

Philippe Dresch pour Quellehuilemoteur.com

Introduction :

Il est grand temps de rétablir la vérité et de sortir des idées préconçues… Et pour cela, nous reviendrons en détail sur la lubrification des groupes motopropulseurs thermiques (ou hybrides), pour véhicules de tourisme et utilitaires légers. Cet article de blog réunit une grande partie (ou presque !) de mes connaissances et de mon expérience en matière de lubrification automobile… Et est totalement complémentaire à un autre, lui-même étant disponible à la lecture en cliquant ici !

Je rappelle cependant que toute une part du savoir et des informations que je distille par l’intermédiaire de ce blog ne reste accessible qu’au travers de la newsletter (qui est gratuite)… Ainsi que par le biais de ma formation technique. Elle regroupe l’ensemble des informations nécessaires afin de comprendre comment faire pour sélectionner le lubrifiant moteur adéquat à votre auto (ou à une autre).

Pour faire simple, cette « introduction à la technicité » — que j’illustrerais avec de jolies photos, schémas, etc. — c’est un condensé du meilleur de ce que j’ai appris au cours des vingt dernières années dans le secteur. Et bien entendu, tout cela reste accessible gratuitement, à toutes et tous ! Pour plus d’informations à mon sujet, je vous renvoie ici.

Pour accéder à l’inscription newsletter (qui est gratuite donc), c’est par ici. Et pour l’aide aux diagnostics OBD, c’est par ici. Enfin, pour accéder à la formation complète, autrement appelée pack de formation pédagogique ou digitale, que je propose d’ailleurs à un tarif ultra-compétitif, c’est par là que cela se passe ! Attention ! Celle-ci est à ce jour en en cours de finalisation ! Cependant, elle est d’ores et déjà disponible à l’achat en précommande ! Voilà, maintenant que tout est dit, on y va pour la suite de cet article de blog !

Avant-propos :

La lubrification moteur est un sujet complexe à appréhender. Énormément de gens commettent des erreurs… Y compris un certain nombre de mécaniciens, de techniciens ainsi que de magasiniers-vendeurs qui pensent être à l’aise avec le sujet… Et pourtant ! Nombre d’entre eux (d’ancienne génération, tout comme de la mienne)… N’ont jamais été spécifiquement formés à ce sujet de haute technicité !

De ce fait, il y a énormément d’idées fausses qui circulent dans la profession. Je ne pointe absolument personne du doigt… Si ce n’est les failles d’un secteur industriel qui a visiblement beaucoup de mal à se réformer ! Surtout en tenant compte des retours d’expériences des personnels pourtant issus du secteur en question !

J’entends bien trop souvent les mêmes âneries… 

Et clairement, ce n’est pas pour rien que j’ai décidé de lancer ce blog ! Il faut cependant savoir replacer les choses dans leur contexte et reconnaître que l’on peut aisément se prendre les pieds dans le tapis… Avec la sélection des huiles et liquides de refroidissement modernes.

Je n’ai d’ailleurs pas la prétention d’être parfait. Et si j’ai été formé à la sélection des huiles et autres fluides de l’automobile (bien après ma période d’apprentissage, alors que j’étais pleinement lancé dans le métier)… Je reste conscient des possibilités d’erreurs inhérentes à ce domaine de niche, issu de l’automobile multimarque.

Enfin, certaines personnes ne pourront (ou ne voudront) jamais assimiler l’ensemble des concepts qui sont expliqués ci-dessous. Chacun est libre de penser ou de faire comme il l’entend, quel que soit le type de véhicule utilisé au quotidien : Dacia Logan, Renault Captur, Peugeot 208, Opel Astra, VW Golf, Audi A3, Mercedes Sprinter, Porsche 911, etc… Dans tous les cas, cet article sera adapté à VOS besoins ! Je vais tout de même essayer de » minimiser » les termes techniques utilisés. Afin d’optimiser la lecture et de faciliter la compréhension de mon texte, dans son ensemble…

Cependant, si vous pensez pouvoir compléter mes écrits grâce à des informations qualitatives, n’hésitez surtout pas à me contacter par l’intermédiaire du formulaire disponible ici. Je prendrais vos demandes et autres propositions en compte, le but étant d’améliorer le contenu que je propose déjà sur Quellehuilemoteur.com, LE blog spécialisé dans la lubrification et les fluides de l’automobile. Par avance, je vous remercie et je vous souhaite bonne lecture à toutes et à tous !

Philippe Dresch pour Quellehuilemoteur.com

Epaisseur/viscosité de l’huile dans un bloc moteur :

En premier lieu, sachez qu’épaisseur d’huile et viscosité : cela revient au même. Que l’on parle de l’un ou de l’autre de ces deux termes… Il s’agit en fait de l’indice de résistance d’un fluide, rapport à son « niveau d’écoulement » sur une surface et à une température donnée. Les lubrifiants qui sont considérés à haute viscosité (comme la mélasse par exemple) s’écoulent beaucoup moins bien et beaucoup plus lentement que ceux dits à faible viscosité. Pour exemple les lubrifiants de techno-synthèse de dernière génération.

Dit autrement, la viscosité d’un lubrifiant moteur, c’est l’aptitude ou la capacité d’une huile à « s’écouler » plus ou moins bien à l’intérieur d’un groupe motopropulseur thermique ou hybride. Plus le lubrifiant sera visqueux, plus il sera « gluant » et moins rapidement il s’écoulera le long de son support.

L’idée selon laquelle la hausse de la température de fonctionnement de votre bloc moteur est la cause de l’amincissement et de la fluidification de l’huile qui y circule peut faire sens, effectivement… Cependant, il serait bien plus judicieux de comprendre la chose en sens inverse. À savoir que l’huile s’épaissit lorsqu’elle refroidit et revient à température ambiante… C’est ce qui pose problème dans la plupart des domaines inhérents à la mécanique !

En effet, on dit que 90 % de l’usure d’un bloc moteur thermique se produit au démarrage. Si nous nous intéressons à sa longévité, nous devrions toujours concentrer notre attention sur la réduction de ce phénomène d’usure au démarrage. Les lubrifiants moteurs utilisés depuis de nombreuses années prennent cela en compte, d’où la création d’huiles dites multigrades, qui tiennent un rôle majeur dans l’entretien et la durée de vie de votre véhicule équipé d’un bloc moteur thermique ou hybride contemporain.

Quellehuilemoteur.com

Comment est-ce que cela fonctionne concrètement ?

Lorsque vous démarrez le matin, afin de vous rendre sur votre lieu de travail, le moteur de votre véhicule est froid. C’est la même chose pour l’huile qui « stagne » en interne, et qui… Quelque soient ses propriétés techniques, ne pourra, au moment T ou vous tournerez la clé de contact, tenir son rôle de lubrificateur de manière optimum… Afin que toutes les pièces internes à votre bloc moteur puissent être convenablement graissées.

D’ailleurs, ce n’est pas pour rien si même de nos jours, on explique encore aux gens qu’il vaut mieux ne pas « tirer » sur un moteur à froid, l’idéal étant de le laisser monter en température de fonctionnement avant d’écraser la pédale des gaz.

En effet, il faut un certain temps afin que le moteur de votre véhicule atteigne sa température optimum de fonctionnement, celle qui permettra à l’huile qui y circule de « s’amincir » suffisamment — jusqu’à atteindre la plage — (ou le « grade ») de viscosité (et donc sa fluidité optimale)… Celle recommandée par le constructeur de votre auto.

Cette illustration d’un moteur Porsche Flat6 (6 cylindres à plat) illustre parfaitement la complexité du circuit de lubrification d’un moteur thermique haut de gamme actuel.

Pour préciser un peu les choses :

Sachez que plus la température extérieure se rapprochera du zéro degré Celsius, plus il sera difficile de limiter l’usure des pièces mécaniques d’un moteur thermique ou hybride… Puisque cette usure est d’autant plus importante dans un moteur froid (donc déjà aux alentours de 15° à 23° et au-dessous)… Que dans un groupe motopropulseur qui tourne depuis un certain temps déjà… Et qui, dès lors, aura atteint sa température de fonctionnement optimale. À titre informatif, celle-ci est comprise entre 90 et 100 ° Celsius pour la plupart des européennes, même si l’on est plus proche des 90/92 ° Celsius de nos jours.

Pour résumer : plus la température d’un bloc moteur s’approchera de son seuil de fonctionnement optimal, plus l’huile se fluidifiera. Ceci étant, les huiles sélectionnées par les constructeurs automobiles sont également conçues pour apporter la meilleure lubrification possible y compris à froid, et ce, même si on ne pourra jamais éviter l’usure de pièces mécaniques à 100 %, thermodynamique des fluides oblige !

Philippe Dresch pour QHM.COM

Petit topo sur les carnets constructeurs :

Dans les anciens manuels fournis par les constructeurs automobiles, il était parfois recommandé de passer d’une huile pour l’été à une huile pour l’hiver. Ce qui existe toujours… Pour les moteurs refroidis par air notamment. Mais ce n’est plus le cas de la très grande majorité des véhicules automobiles contemporains (quelle que soit leur gamme)… Puisqu’ils sont d’office équipés de moteurs refroidis par eau sous pression. Ces blocs sont maintenus à une température d’environ 90/100 ° Celsius comme je le disais tout à l’heure, et ce, tout au long de l’année.

Dans un bloc moteur actuel, le liquide de refroidissement ainsi que l’huile moteur qui y circule atteignent généralement une température tout à fait similaire. Cependant, un bloc moteur utilisant un lubrifiant de techno-synthèse jouira de bien meilleures performances…

Pourquoi cela ?

Parce que la viscosité de son huile évoluera bien mieux dans le temps… C’est également quelque chose que j’expliquais plus haut. Dans tous les cas, un carnet constructeur digne de ce nom devrait expliquer tout cela… Et vous donner d’office les informations nécessaires au bon entretien de votre véhicule…

S’il est possible de tomber de temps à autre, sur quelques carnets constructeurs de bonne facture, à même de vous communiquer des informations suffisamment claires pour que vous puissiez sélectionner par vous-même, l’huile, le liquide de refroidissement ou tout autre type de fluide correspondant à votre auto… Et bien, sachez que ce n’est absolument pas la norme ! C’est même plutôt rare de tomber sur un carnet qui soit « bien fichu », non générique… Et qui n’induis pas plus en erreur son lecteur qu’autre chose…

Et pourtant :

Savoir choisir le lubrifiant moteur, le liquide de refroidissement… Ou tout autre type de fluide compatible avec votre véhicule (surtout s’il est de dernière génération)… Ce n’est clairement plus une option en 2024 ! Qu’il s’agisse d’une voiture (ou d’un utilitaire) à motorisation thermique, ou hybride (voir même électrique… Du fait des nouveaux types de liquides refroidissant), c’est le même combat ! D’ailleurs, je vous parle déjà un peu de cet aspect technique au travers d’un autre article de blog qui est accessible ici. Les deux articles se complètent et sont importants à lire.

L’instant pose :

Je profite de cet instant pour vous rappeler que toute une part du savoir et des informations que je distille par l’intermédiaire de ce blog ne reste accessible qu’au travers de la newsletter (qui est gratuite)… Ainsi que par le biais de ma formation technique. Elle regroupe l’ensemble des informations nécessaires afin de comprendre comment faire pour sélectionner le lubrifiant moteur adéquat à votre auto (ou à une autre)… Plus d’informations en cliquant ici ! Et avant d’aller plus loin, voilà un premier petit bonus. Il s’agit d’un guide pratique qui vous expliquera quelles sont les 5 subtilités à respecter afin d’effectuer le niveau d’huile de votre auto comme un pro !

Philippe Dresch pour QHM.COM

    La nomenclature des huiles moteurs :

    Dans l’industrie automobile, on propose une grande diversité de lubrifiants moteurs. Cependant, leurs nomenclatures, telles qu’elles ont été conçues (et telles qu’on les retrouve sur les étiquettes des bidons et fûts d’huiles, et c’est la même chose pour les liquides de refroidissements et de freins) ne simplifient absolument pas leur décryptage… D’ailleurs, celui-ci est d’autant plus complexe, que les spécifications qui y sont présentées sont issues de divers organismes au niveau mondial…

    Alors, tout d’abord, sachez qu’il existe des lubrifiants monogrades et multigrades. Tout comme il existe des huiles minérales et synthétiques. Pour les véhicules de collection, les voitures anciennes principalement, les constructeurs recommandent généralement une huile de type monograde (dans les voitures anciennes, se sont principalement des huiles minérales). C’est le genre de bidon que l’on identifie aisément… Car il n’indique souvent qu’un seul nombre, suivi (ou pas) de la lettre W.

    Conception d’un bloc motopropulseur contemporain :

    Un bloc moteur moderne est conçu de manière à pouvoir fonctionner tout au long de l’année, à une température interne allant de 90 à 100 ° Celsius, quelles que soient les conditions climatiques. De ce fait, les huiles de techno-synthèse ont été développées afin d’être performantes sur une large plage de températures (ce que je vous expliquais plus haut). Celles-ci sont de type multigrades.

    Leurs spécifications se présentent généralement comme telles : un nombre (ou un chiffre), suivi de la lettre W, elle même étant suivi d’un autre nombre. C’est ce type d’huile que l’on utilisera dans la grande majorité des blocs moteurs contemporains.

    Les lubrifiants moteurs sont donc divisés en grades, par exemple : grade 20, 30 ou 40. Déjà plus haut dans cet article, je vous expliquais que le grade de viscosité d’une huile permettait de connaître la résistance de celle-ci quant à son niveau d’écoulement au sein de votre bloc moteur. Retenez simplement qu’un lubrifiant dont le grade de viscosité est faible sera plus fluide, ou plus liquide en quelque sorte… Il s’écoulera donc plus facilement.

    Philippe Dresch pour Quellehuilemoteur.com

    Pour ce qui est de l’étiquetage des bidons et fûts d’huiles, sachez que nous y revenons plus en détail au travers de la formation pédagogique QHM.COM… Il est intéressant de noter que c’est la Society of Automotive Engineers (abrégée SAE… Et signifiant Société des Ingénieurs de l’Automobile) qui a mis en place cette fameuse nomenclature permettant de définir les caractéristiques d’une huile moteurs.

    C’est pourquoi le grade est toujours indiqué sur un bidon ou un fût par deux séries de chiffres ou de nombres séparés par la lettre W. Ce qui donnera quelque chose comme : XX-W-XX.

    Quelques précisions supplémentaires :

    C’est le système SAE qui fut utilisé comme « modèle de base », avant d’être adopté, puis démocratisé au niveau mondial. Bien étendu les API SN/CF & ACEA sont également très rependues de nos jours. Attention cependant… Car en Europe, les nomenclatures américaines, ou encore japonaises ne sont pas forcément les premières à prendre en compte pour sélectionner, à coup sûr, le lubrifiant moteur adéquat à votre auto…

    Cependant, pour en savoir plus à ce sujet, il faudra effectivement passer par la formation Quellehuilemoteur.com ! Car au final, c’est bien elle qui regroupe l’ensemble des informations nécessaires afin de comprendre comment faire pour sélectionner le lubrifiant moteur adéquat à votre auto (ou à une autre)… Plus d’informations en cliquant ici !

    D’ailleurs, et je pense que vous vous en doutez déjà…

    Si j’ai décidé de lancer le blog Quellehuilemoteur.com (et d’écrire cet article plus particulièrement), c’est avant tout parce qu’en temps que vendeur magasinier en pièces de rechange et accessoires automobiles pendant 20 ans, dont plus de 13 ans en temps que responsable comptoir pièces…

    J’ai bien trop souvent eu l’occasion de constater qu’une part non négligeable des automobilistes ne prêtent pas suffisamment attention aux spécificités techniques… Inhérentes à leur propre véhicule… Ce qui conduit inévitablement, et dans de nombreux cas de figure, à l’achat de lubrifiants et de fluides non adaptés ! Et cela peut amener… À de gros problèmes techniques !

    D’ailleurs, beaucoup de mes clients (avant de collaborer avec moi), s’y perdaient dans ce dédale de spécifications techniques… Ce qui n’est clairement pas étonnant, tant le système est à mon humble avis… Perfectible ! Je vais tout de même finaliser mes explications et clôturer cet article par la même occasion… Afin que vous puissiez finaliser l’acquisition de ces nouvelles armes que je partage d’ores et déjà avec vous… Et qui vous permettront — peu à peu — de reprendre le contrôle sur l’entretien de votre auto !

    Bon à savoir :

    Sur un bidon de 5L d’huile moteur par exemple, le premier numéro… Ou le premier nombre précédant la lettre W correspond au grade à froid de l’huile moteur. Plus il est petit, plus le démarrage par temps froid (et à froid) sera facilité. D’ailleurs, la grande majorité des pros de l’auto s’accorde sur le fait que la lettre W serait en fait une abréviation directe du mot Winter (qui signifie hiver en anglais)

    Le second nombre (après la lettre W donc) indique le grade d’huile à chaud. Plus celui-ci est élevé… Plus l’huile moteur résistera aux fortes températures extérieures… Ainsi qu’à la montée en température de votre bloc moteur thermique (ou hybride)… Tout en restant la plus « visqueuse » au possible !

    En bref, et pour faire simple… Sachez qu’une huile en 0W20 ou en 5W-40 sera toujours bien plus fluide qu’une 10W-40 ou qu’une 15W40… Et elle sera clairement plus adaptée à des pays tempérés, tel que le nôtre, dans lequel les températures extérieures évoluent toute l’année en allant de -10 °C à +40° Celsius. Bien évidemment, se reporter systématiquement aux préconisations constructeur restera toujours la norme… Ces préconisations sont d’ailleurs interdépendantes… Et totalement liées à ladite nomenclature des huiles dont je vous parlais plus haut, dans cet article…

    Ce qu’il vous faut bien comprendre…

    C’est que se fier uniquement à la viscosité et/ou à la fluidité d’une huile moteur, afin de la sélectionner comme il convient, cela ne suffira pas ! Pourquoi ? Et bien, tout simplement parce que la nomenclature en question ne se basera jamais uniquement sur ces deux éléments… Mais aussi et surtout, sur un tout autre aspect technique… Dont je n’ai pas encore eu le temps de vous parler dans cet article de blog ! Et ce, malgré le fait qu’il soit l’un des points les plus importants… Si ce n’est LE plus important !

    En finalité, c’est bien l’ensemble des éléments dont je parle ici… Ainsi qu’un tout autre aspect technique de ladite nomenclature des huiles moteurs qui vous permettra à coup sûr (ou presque !), de sélectionner comme un pro de l’auto, l’huile correspondante à n’importe quelle voiture. Et ce, sans avoir besoin d’internet, ni même d’un carnet constructeur parfaitement élaboré !

    Vous l’aurez donc bien compris : c’est à ce moment précis que la formation Quellehuilemoteur.com entre en jeu ! Je vous invite donc véritablement à y prêter attention, et sur ce, je vous laisse ici. Pour plus d’informations quant à l’acquisition de notre formation pédagogique, vous pouvez cliquer dès à présent ici. Enfin, je vous recommanderais la lecture du second article de la série, qui est d’ores et déjà disponible en cliquant ici.

    Mentions légales disponibles ici.

    Vous avez aimé cet article ? Alors, je vous invite vraiment à le partager autour de vous et surtout, à vous inscrire à la newsletter de ce blog, car elle vous donnera accès, tout au long de l’année, à de nombreux contenus supplémentaires en totale exclusivité^^ !

    Philippe Dresch pour Quellehuilemoteur.com

      5 Comments

      • Reply
        Léo Hw
        janvier 5, 2024 at 9:17 pm

        Très bon article ! Intéressant, un peu technique mais pas trop, et qui donne l’envie de lire le prochain, j’dirais même que ça me donne envie de m’inscrire à la newsletter du site ! On sera informé quand de la sortie de votre formation numérique ? ca pourrait me plaire!

        • Reply
          Philippe
          janvier 7, 2024 at 11:11 am

          Merci Léo Hw, pour votre commentaire ! Sachez d’ailleurs que c’est très important pour moi de les recueillir, et de les lire ! J’invite donc tout le monde à me donner un avis, car c’est important pour faire évoluer la qualité de l’ensemble de ce site internet ainsi que de ses contenus gratuits tout comme payants (à venir).

          Alors il faut savoir que si vous voulez assimiler un maximum d’informations techniques dans le domaine qui nous intéressent sur ce site, tout d’abord, c’est une très bonne chose, et je vous y encourage vivement ! Maintenant, sachez qu’avec QHM.COM, cela passera forcément, ET par la lecture de tous les articles de ce blog (pour l’heure il n’y en a que deux qui soient online), ET surtout par le contenu que j’offre GRATUITEMENT et sans aucune obligation d’engagement, en vous inscrivant à la newsletter du blog Quellehuilemoteur.com. Enfin, la formation digitale que je suis en train de concevoir et qui sera spécialement conçue à cet effet complétera le tout et vous permettra réellement de savoir « comment font les pros de l’autos pour sélectionner à coup sûr, le lubrifiant – où le fluide – adéquat à votre auto » ! 🙂

          Plus d’informations en cliquant ici : https://quellehuilemoteur.com/une-question-technique/

          En vous souhaitant un bon dimanche,
          Philippe Dresch – créateur du blog Quellehuilemoteur.com

      • Reply
        loic stremann
        janvier 8, 2024 at 9:53 pm

        Je m’appelle Loïc et je suis très heureux d’être tomé sur ce site internet totalement par hasard ou presque ! A vrai dire, j’avais tapé dans Google un truc du style « Quelle huile choisir pour ma Honda Accord 7 » et je suis tombé ici… j’ai moi m-même travaillé dans le secteur auto pendant presque 10 ans… et je suis heureux d’y retrouver de VRAIS conseils venant d’un pro de l’auto, ça se sent à la lecture de vos articles ! Je vous envoi un mail cette semaine encore, j’ai une ou deux questions pour vous. Belle journée à tous et toutes.

        • Reply
          Philippe
          janvier 10, 2024 at 6:44 pm

          Oui tout à fait, j’ai 20 ans de métier et ça fait plaisir que certaines personnes arrivent à le sentir, de part leur propre expérience pro !
          En tout cas je vous remercie et je reste à votre écoute, avec grand plaisir^^!

      • Reply
        MeloVW
        mars 12, 2024 at 10:01 pm

        Génial votre site, vivement la suite, au plaisir !

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